10 mauvaises habitudes qui collent à la peau des camerounais ? - Page 3 sur 4 - Auletch

10 mauvaises habitudes qui collent à la peau des camerounais ?

Publié le 8 janvier 2016, par Mota__Savio

IMG-20150511-WA0000

5-    Somnoler sur une chaise alors que lit est à côté. Les paters et les maters vous diront que c’est la fatigue alors qu’en réalité il n’en est rien. Premièrement, pourquoi cogner sa tête dans la maison alors qu’un lit confortable sur lequel une magnifique créature impatiente vous attend (Je parle des mariés oh ! Célibataires assiah !). Deuxièmement, ce n’est peut-être pas votre lit. Oui oui, si on cherche bien, on verra que le crédit que la banque vous a accordé a déjà cuit et maintenant vous dormez seulement avec les huissiers.

6-    Se plaindre du foirage alors que l’on boit la bière tous les soirs. Entre nous qui ne connaît pas cette situation. On boit, on boit, on boit mais les problèmes sont toujours là. Un casier, deux casiers mais les factures d’eau et d’électricité sont toujours là. Est-ce toujours parce que le père là est président ? Na malchance this or na popo bàlock ? Comment les gens enchaînent des tonneaux d’alcool alors que les enfants ne sont pas encore inscrits au school ? Dites ce que vous voulez, c’est Valsero qui avait raison. Ce pays tue les jeunes !

7-    Se saper avant d’aller à un deuil. Tu es là devant le miroir depuis deux heures de temps. C’est toujours pour le deuil là ou après il y aura un bateau à lever ? Comme tout le monde est maintenant Bomayé là. Sérieusement, on va danser ou pleurer ? Est-ce que le corps connaît encore ce que  l’on appelle le mascara, fond de teint, eye-liner, bref  le maquillage ? Il est lui couché. Ris, pleure, dis lui même qu’il est laid, c’est pas son problème. Peut-être qu’on le fait aussi parce que l’on espère rencontrer quelqu’un (e). Ça laisse qui ? Même avec le veuf ou la veuve on peut s’entendre, hein…Mollah ?

Auteur : Mota__Savio

Mollah, moi je suis Africain hein ! Camerounais et fier de l’être. Team: Vert-Rouge-Jaune ô Bosso. Internet ma muse, je n’oublie pas pour autant le ndolè et les missolè de mes ancêtres. Bref, je suis un gars comme vous : Un gars « connecté ». Hein ! Mollah