10 scènes qui wanda dans les films américains - Auletch

10 scènes qui wanda dans les films américains

Publié le 18 février 2016, par Mota__Savio

joie

C’est indiscutable. En matière de cinéma, les USA sont les champions du monde depuis la nuit des temps. Que ce soit des films d’actions, d’amour, ou dramatique, il y a pas meilleurs qu’eux. Mais au fil du temps, les histoires se ressemblent tout en étonnant le public. Dès le début du film, on perçoit déjà la fin. Comme les chinois qui vengent toujours leurs parents grâce à Shaolin, les américains ont aussi leurs scènes fétiches. C’est-à-dire que certaines situations reviennent tout le temps dans leurs films au point de wanda les gens. Avec ce petit top, découvrez comment.

  • Chaque fois qu’il faut désamorcer une bombe, il y a toujours des fils à déconnecter : Ce n’est pas la sorcellerie ? Les fils là sortent d’où ? C’est quand la vie de quelqu’un est en danger qu’il commence à chercher les fils rouge, bleu et jaune. Bèta les miondo hein ! Na which kan opération de déminage non ?
  • L’acteur principal se sauve toujours à quelques secondes de l’explosion de la bombe : Comme par chance, le salaud se sauve toujours avant. Mollah, tu es assis devant ta télé. Tu as bien vu comment le feu l’a touché et projeté. Mais ton gars s’en sort. Si tu cherches à savoir comment est-ce qu’il a fait, on va te dire que ce sont les effets spéciaux.
  • Le méchant bavarde toujours avant de tuer l’acteur principal afin…il essaye : Pour une fois tu as l’avantage. Tue alors l’acteur. Non oh ! Monsieur le Chef-Bandit commence les discours. Il monte, il descend avec le fusil à la main. Commence à raconter comment il a construit son empire de cocaïne depuis la Colombie. Mon frère, ta part là c’est quoi ? Achèves-le non dis-donc !
  • Il se met immédiatement à pleuvoir quand quelqu’un est triste : C’est un rituel. Dès qu’on annonce à un acteur qu’il est en phase terminale de cancer, la pluie commence à descendre. Le DJ te met alors le genre de musique qui coupe l’appétit. Du coup, même le téléspectateur ressent de la tristesse.
  • Les gens gardent des coupures de journaux si quelqu’un est mort dans des circonstances bizarres : Les habitués de SmallVille savent de quoi on parle. Fallait juste qu’une histoire oubliée resurgisse pour que Chloé et Clark sortent des anciens journaux sur l’affaire. I say hein ! Vous attendiez seulement ça ?
  • N’importe qui peut faire décoller un avion à condition que la tour de contrôle l’aide : Apparemment les américains savent tout faire. Même piloter l’avion. Les terroristes prennent en otage tous les passagers d’un vol. OK. Ils s’énervent et tuent les pilotes. Subitement, un militaire (en pleine dépression) qui a fuit l’Irak devient le nouveau pilote après avoir tué (C’est moi qui te dis nor) tous les 10 terroristes.
  • Après le sexe, l’homme allume toujours une cigarette : A cause d’Hollywood, tous les hommes fument maintenant. Entre nous, c’est quoi le message qu’on veut faire passer ? Ah oui ! La cigarette est devenue un aphrodisiaque. Mon œil oui !
  • Y a toujours un policier qui ne respecte pas les règles : Au lieu de mener son enquête au calme comme ses collègues, le gars te montre qu’il est Bétchakalababobé. Qu’il n’a peur de rien. Que les dégâts causés par sa voiture n’engagent que les bandits qu’il poursuit. Que les pots de vin qu’il a pris c’est seulement pour soigner son enfant atteint d’une maladie rare qui étonnement est le filleul de son coéquipier. C’est le scénario que tu veux voir ?
  • Pendant une enquête, les policiers passent au moins une fois dans un club de strip-tease : Ou les femmes nues ont fait quoi aux policiers oh ? C’est eux qui savent. Un peu un peu « Il parait que le suspect est barman dans un club de strip-tease ». Du coup, les policiers sont constamment au club et posent des questions aussi connes les unes que les autres. C’est du genre « Etes vous sûrs que la stripteaseuse morte était une femme ? » Hein Père !
  • L’ambulance arrive toujours à la fin du film : Le ndem c’est quelque chose vraiment. On a déjà tapé tout le monde. Le sang a coulé. Les coups depoing se baladaient. L’acteur principal a déjà délivré tout un village africain qui était sous l’emprise d’un dictateur fou. C’est à l’heure là que les grands ambulanciers arrivent. Tsuiiips ! Pour nous quoi ? Le film est fini.

En attendant, que vous complétez la liste avec d’autres situations, c’est peut-être la formule gagnante pour que le cinéma camerounais (re)décolle.Enfin…peut-être hein !

 

Credit photo : http://peres-blancs.cef.fr/image6/000rire.jpg

Auteur : Mota__Savio

Mollah, moi je suis Africain hein ! Camerounais et fier de l’être. Team: Vert-Rouge-Jaune ô Bosso. Internet ma muse, je n’oublie pas pour autant le ndolè et les missolè de mes ancêtres. Bref, je suis un gars comme vous : Un gars « connecté ». Hein ! Mollah