Manu Dibango : un an après sa mort, un documentaire et une réédition d'un album seront dévoilés

Manu Dibango : un an après sa mort, un documentaire et une réédition d’un album seront dévoilés

Publié le 24 mars 2021, par Charly ngon

Un an après sa mort, un film documentaire inédit et une réédition de l’un des albums de Manu Dibango vont être dévoilés au public ce soir.

L’émotion sera à son comble ce soir lorsque le documentaire consacré à Manu Dibango sera diffusé en avant-première au Festival du Film et de la Diversité. Arraché de manière brutale à la vie par le virus de la Covid-19, le saxophoniste camerounais était la première star à mourir de cette maladie. Cela fait aujourd’hui un an qu’on a plus entendu son sourire légendaire. Sa marque de fabrique dont lui seul avait le secret. Pour le public qui a été bercé durant des décennies à ce sourire qui ne le quittait jamais, il va devoir faire preuve de courage, lorsqu’il entendra de nouveau la voix de l’auteur de la chanson « Soul Makossa« .

Le document est produit par deux journalistes qui ont suivi Manu Dibango durant plusieurs années. Toujours entre deux avions pour les spectacles, les deux hommes ont dû s’accommoder à ce rythme pour capturer quelques moments particuliers de la vie de l’artiste. De 2013 à 2018, ils l’ont accompagné dans les lieux marquants de son histoire. Abidjan, Paris, Londres, New York. Que de beaux souvenirs à voir sur le site Internet de la  » 25 heures« . Connu pour sa joie de vie, de milliers de fans à travers le monde n’ont jamais pu rendre hommage à la star comme il se doit. Le film documentaire « Tonton Manu » est donc une occasion de rendre un vibrant hommage à l’icône de la musique mondiale. À la suite de cette fiction, on mettra aussi à la disposition du public la réédition l’un de ses rares albums « Afrovision« .

Manu Dibango

Auteur : Charly ngon

Molah ne te fie pas à mon name, je ne suis pas un mbenguiste, je suis du bled comme toi. Les hauts et les bas sont notre quotidien, donc ne fia pas c'est entre nous quoi ... comme au letch