Douala accueille les premières assisses «Des chantiers musicaux du Cameroun»

Douala accueille les premières assisses «Des chantiers musicaux du Cameroun»

Publié le 8 février 2024, par Charly ngon

Le Conseil Camerounais de la Musique a rassemblé les professionnels de l’industrie musicale à Douala pour une période de trois jours de réflexion consacrée à la thématique « Les chantiers musicaux du Cameroun ».

Conseil camerounais de la musique

 

C’est la ville de Douala qui a été choisie comme point de réflexion pour l’avenir de l’industrie musicale au Cameroun. En effet, ce jeudi 08 février 2024 marque le départ des chantiers musicaux qui sont un vaste projet porté par le conseil camerounais de la musique, dans la capitale économique. Le lancement de ses travaux a eu lieu aujourd’hui. Une première phase qui a permis à la soixantaine de professionnels de la musique issus des différentes régions du Cameroun de se pencher sur l’état des lieux de la musique durant trois jours. L’événement a débuté aux environs de 10 heures dans les locaux de l’hôtel Samba à Bonamoussadi, situé dans le cinquième arrondissement de la ville de Douala.

Écrire l’histoire

Avant le lancement des travaux, tous les participants se sont retrouvés autour des membres du conseil camerounais de la musique pour une photo de famille. La séance s’est déroulée dans une ambiance bonne enfant malgré la chaleur de Douala qui a vite fait de pousser chaque participant à regagner rapidement la salle. Sollicité par les hommes de médias, NGADJUI TOKO DIEUDONNÉ a présenté la singularité de cette rencontre :« Nous sommes entrain d’aller l’histoire, d’aller construire une base structurelle que personne n’a eu le temps de construire. C’est un travail en commun entre les producteurs de musique, les promoteurs de médias, les diffuseurs et les directeurs d’évènements ».

Didier Toko

Après avoir échangé avec les médias, le président du conseil camerounais a rejoint ses collègues, ainsi que les participants, afin de procéder au lancement officiel des «Chantiers Musicaux du Cameroun». La première journée a été caractérisée par une présentation générale des soixante professionnels. Un par un, chacun a décliné son identité, sa profession et sa ville de résidence. Certains ont apporté une touche de jovialité lors de leur intervention, tandis que d’autres ont fait preuve de discrétion. Cependant, il était fondamental d’encourager cet état d’esprit afin que chaque individu se sente pleinement engagé dans ce projet. Une fois cette phase terminée, les discussions se sont poursuivies au sein des différents ateliers consacrés à la production, à la promotion et à la diffusion, sous la supervision des modérateurs.

Auteur : Charly ngon

Molah ne te fie pas à mon name, je ne suis pas un mbenguiste, je suis du bled comme toi. Les hauts et les bas sont notre quotidien, donc ne fia pas c'est entre nous quoi ... comme au letch