Voici les 10 pires souvenirs qu'on garde de l’école primaire au Cameroun

Voici les 10 pires souvenirs qu’on garde de l’école primaire au Cameroun

Publié le 1 août 2017, par Mota__Savio

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Après les 10 meilleurs souvenirs de l’école primaire, on a décidé de vous parler de l’envers du décor. Vous ignorez quoi ? Voici les 10 pires souvenirs qu’on a de l’école primaire au Cameroun.

©Daily Mail

1- L’école : Aller à l’école c’était déjà un problème. Pourquoi ? L’école fatigue, que ce soit au Mboa ou ailleurs. Mon frère, tu restes sur place du matin jusqu’au soir, un père te gronde quand tu forget de faire ses devoirs. Miiiince ! C’est obligé ?

 2- Les devoirs à faire à la maison : C’était tout le travail de Mr Rigobert (Son nom du village était trop compliqué). Comment quelqu’un pouvait donner 10 problèmes à résoudre à la maison ? On était là quand il partait provoquer les gens ? Pourquoi il nous mettait dans ses choses ? Jusqu’ à dire que «  Tous ceux qui ne trouvent pas la solution aux problèmes recevront une fessée devant toute la classe ». Monsieur tu es sérieux ?

3- La dictée : ou plutôt la « Dic… tée… » avec Mr Rigobert qui prononçait le féminin avec la force : « La fille est tombée… la fille est… tombé-éheue… » Mais on réussissait à ndem. Un jour, lors d’une épreuve, Pa’a Rigo disait « la bicyclette de l’enfant est tombée » Alors que tout le monde cherchait l’orthographe exacte de Bicyclette, Kotto a écrit une fois vélo, en disant aux gars que bicyclette lui perdait le temps comme la table de multiplication.




4- La table de multiplication : On devait retenir ça comme une date de naissance. Pourquoi ? Pour savoir compter, calculer et résoudre les problèmes. Mon freeere, tout ca pour découvrir quelques années plus tard que la calculatrice existe ! L’homme est vraiment mauvais tout comme Mr Rigobert et sa chicotte…

5- La chicotte de l’enseignant : Peeere arrêtez de dire que les africains supportent le fouet. Meeeeerde, on fouettait souvent les enfants comme les serpents qui sortent souvent des toilettes des gens. Yeuch ! Les enseignants hein !

6- L’enseignant lui-même : On le voyait comme un tyran, un dictateur, un lion bref, il riait rarement. Sauf quand il fouettait les élèves lors de la remise des bulletins. Pa’a Rigobert toi hein !




7- La remise des bulletins : Qui ne connait pas la chanson « Le jour des résultats, les larmes vont couler, le jour des résultats, les larmes vont couler, ayo oooh zam zam zam les larmes vont couler, ayo oooh zam zam zam, les larmes vont couler ». Bref, plus la moyenne était basse, plus le nombre de coups de fouets augmentait.

8- L’ami qui sentait toujours les urines : A vrai dire, personne ne sait si le gars n’aimait pas l’eau ou ses parents étaient simplement négligents. Comment quelqu’un pouvait sentir les piss-piss un lundi matin ? Jusqu’à bavarder à haute voix et plus que tout le monde hein !




9- La liste des bavards : Encore un way qui nous faisait transpirer. Tu parles ta chose avec ton ami, vous riez, vous enjoy-ez. Pendant ce temps, sous ordre de Pa’a Rigo, Batakeng prend les noms des bavards. Pourquoi ? Il fallait redresser les bavards. ( On ne dit pas bavardeurs, i beg)

10- Le contrôle : Tous les vendredis, c’était la fessée nationale. Pa’a Rigo corrigeait tous les cahiers. Pendant que les premiers riaient, les derniers pleuraient pour le Maitre et pour les parents à la maison. Pourquoi ? C’était obligé de faire signer son cahier pour lundi matin. C’est vrai qu’on trafiquait souvent la signature du pater mais quand on voit ce que le père de So’ona lui a fait un jour (Il a chicoté avec le mangosi) mbom, on a forget l’idée là pour de bon.




 

On a forget plein de ways de l’école primaire. Complétez seulement en commentaires. 

Auteur : Mota__Savio

Mollah, moi je suis Africain hein ! Camerounais et fier de l’être. Team: Vert-Rouge-Jaune ô Bosso. Internet ma muse, je n’oublie pas pour autant le ndolè et les missolè de mes ancêtres. Bref, je suis un gars comme vous : Un gars « connecté ». Hein ! Mollah