Vidéo : Helene Snow en quête de stabilité dans le nouveau clip de "Njumba"

Vidéo : Helene Snow en quête de stabilité dans le nouveau clip de « Njumba »

Publié le 5 juin 2018, par Mota__Savio

 En novembre dernier, Helene Snow sortait son premier single qui nous emmenait sur les terrains de l’afro pop. Une chanson que la chanteuse continue aujourd’hui de défendre avec la sortie des visuels de « Njumba ».

Helene Snow

Originaire de Mamfe, une ville au Sud Ouest du Cameroun, Helene Snow a vécu à Buea, ville dans laquelle elle étudiait à l’Université. A la fin de son parcours universitaire, elle intègre le groupe M1 band. Portée par sa passion pour la musique depuis son enfance, à l’église notamment, Achere Helen Nchung, de son vrai nom, sort son tout premier morceau intitulé : Njumba.

Signée chez Clear Creek Empire, elle profite de la prod de Djara pour refuser d’être une Njumba. En d’autres termes, la go ne veut pas être le second bureau, la maîtresse, la femme que l’on vient voir quand tout va mal avec la titulaire. Ce qui est perceptible dans le clip réalisé par Geraldrico Guevara, connu pour avoir réalisé le clip Mukum de Kikoh. Sauf qu’ici, Helen est en position de faiblesse en témoigne toutes les petites attentions envers un homme pas du tout réceptif, qui la trompe sans se cacher,bref, qui se fout pas mal de ce qu’elle pense. 

Ce qui est par contre compréhensible, c’est l’attitude de la go devant la camera. Elle est à son aise. Son expérience d’actrice professionnelle l’aide énormément. En effet, Helen Snow est une habituée des tapis rouges, et des flashs d’appareils photos qui crépitent. A sa faveur, des rôles dans la série « Rumble » de Billy Bob Ndive et dans le film « Barefoot On Broken Bottles » sorti en 2016. Quelques expériences qui lui servent devant la camera et qui dévoile une nouvelle facette. Helen Snow, la chanteuse.

Au Letch, on enjoy le clip !




Auteur : Mota__Savio

Mollah, moi je suis Africain hein ! Camerounais et fier de l’être. Team: Vert-Rouge-Jaune ô Bosso. Internet ma muse, je n’oublie pas pour autant le ndolè et les missolè de mes ancêtres. Bref, je suis un gars comme vous : Un gars « connecté ». Hein ! Mollah