Dans son nouveau clip, Armand Laklass chante au rythme de la Pop Kossa, une nouvelle coloration du Makossa

Dans son nouveau clip, Armand Laklass chante au rythme de la Pop Kossa, une nouvelle coloration du Makossa

Publié le 16 juillet 2017, par Mota__Savio
Son nouveau clip, « Le petit Bamiléké » est inspiré d’une histoire passionnante qui rend compte d’amour, de combat et de détermination sous fond de Pop Makossa, une nouvelle coloration du Makossa, l’un des rythmes les plus célèbres du Cameroun. 

Quand les musiques urbaines se réinventent, elles font place aux sonorités et colorations nouvelles.  « Le petit Bamiléké », la nouvelle chanson de Armand Laklass en est la preuve. Il suffit de l’écouter pour s’en rendre compte. Le gars se nourrit du Makossa pour raconter son histoire, transmettre ses émotions, voire évoluer dans un couloir qu’il baptise « Pop Kossa », né du mélange, Pop et Makossa.

Dans le clip réalisé par Max Ngassa, le chanteur qui déclasse nous plonge au cœur d’une histoire d’amour entre un jeune homme – débrouillard- et une lycéenne. L’artiste nous fait vivre dans un décor style kwat, le refus catégorique de leur relation par les parents de la fille, Nguea La Route et Ngando Picket. Au fil du temps, et de travail, Armand Laklass parvient à ses fins. Il confirme le dicton qui dit que «la vraie magie c’est le travail».

Ce travail, on l’observe dès les premières notes de son premier album « Le temps de Dieu» sorti en 2014 ainsi que «l’Homme c’est les reins» et « Mbomtolo» qui contribuent à sa notoriété. Une notoriété qu’il doit certes a une voix généreuse et singulière, mais aussi au Makossa, qui est son rythme de prédilection. Un rythme auquel il apporte à travers chaque album, sa créativité, son imagination, et son grain de folie.

 

Auteur : Mota__Savio

Mollah, moi je suis Africain hein ! Camerounais et fier de l’être. Team: Vert-Rouge-Jaune ô Bosso. Internet ma muse, je n’oublie pas pour autant le ndolè et les missolè de mes ancêtres. Bref, je suis un gars comme vous : Un gars « connecté ». Hein ! Mollah