Les 8 travailleurs les plus détestés du Cameroun

Les 8 travailleurs les plus détestés du Cameroun

Publié le 1 mai 2018, par Nyemson

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Au Cameroun, un travailleur cumule en moyenne 50 heures de travail par semaine. A l’approche de chaque 1er Mai de l’an, les gars calculent les fériés avec force. Pour les encourager, le ngomna décrète à la veille, une journée fériée chômée. Pourtant certains travailleurs ne méritent pas ce cadeau. Il s’agit de ceux qui font honte à leur profession.

Source : Shutterstock.com

1- Les employés des services publics. Mollah fais un tour dans les services publics du Cameroun, le constat est le même. Les employés came aux environs de 10 heures. Bureau ouvert, ils waka dans les couloirs pour se taper les divers. Quand tu came pour un service, moindre chose, « il vous manque tel papier Madame ; allez photocopier tant ; vous n’avez pas la signature de ci ». Et si par malheur tu as tout ce qu’il faut hein, « Revenez demain, le chef n’est pas là ». Il n’est pas là qu’il est où ? After on leur donne les médailles. Onong les plus assidus là-bas sont les plantons.

2- Les électriciens du ngomna. Pour ne pas avoir les matter, on ne peut pas vous dire qu’il s’agit des agents de la SONEL (il parait qu’ils ont changé de nom, comme Général voy**ge). Comment plus de 1000 employés se lèvent chaque matin, pendant 365 jours et il n’y a pas d’amélioration sur l’alimentation électrique ? Soit, ils vont au travail pour couper le courant, soit ils y vont pour énerver les gens. C’est quel work ça ? After ils accusent les poteaux et les câbles. C’est plus facile puisqu’ils ne parlent pas nor…

3- Les mbérés du rackettage. Dieu vous voit ! Dans nos rues embouteillées, on ne les voit pas. Dans nos dangereux quartiers ils ne sont pas là. Quand on les call alors que « ooohhh les voici qui sont en train d’entrer oooh », ils nous laissent au répondeur. Mais si c’est pour débarquer sur l’axe lourd ou venir fouetter les bensikineurs dans les carrefours et profiter de l’occasion pour saluer les taximen, ils sont là. Tout se paye un jour onong !

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4- Les médecins hypocrites. Ce sont ceux des services publics qui ont fait vœux sur le serment d’hypocrite (oui, vous avez bien lu). Les gars ont réussi à engendrer la peur chez tous les camerounais. Un malade est stressé quand tu lui dis d’aller se soigner dans les hôpitaux publics. Non les gars c’est vraiment sérieux !

5- Les journalistes des kaolos. Nos grand-frères qui salissent la profession du journalisme là, on vous salue. Le dehors n’est pas facile, mais on ne peut pas avancer avec les gens qui passent leur temps à filmer les danses offerts à Pa’ Paul, pour nous montrer ça comme actualité au Journal. L’engagement littéraire que vous récitiez en classe de TLe n’est pas qu’une histoire, c’est un choix. Pardon seulement, choisissez le changement. Le chômage a déjà tué qui au Mboa? LOL.

6- Les chauffeurs instables. Une chance qu’on ne vous donne pas les médailles. Hum ! Tu as les chauffeurs de bus qui conduisent comme si leur femme les trompait. Vous doublez les camions qu’on vous paye à la commission ? Et nos amis bensikineurs qui n’écoutent jamais leurs clients qui leur demandent de rouler prudemment. « Je te donne le guidon tu conduis ? ». Leur chance c’est que tu ne peux rien leur souhaiter de pire tant que tu es sur la moto.

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7- Les techniciens du jonglage. Que celui qui n’a jamais eu des matters au Cameroun avec son technicien, nous laisse son numéro et son nom en Commentaire. Megde ! Ils ont toujours un visage d’ange et une voix d’innocent quand tu les recrutes. Tu peux les call 20 fois pour les calculs du devis, ils décrochent et payent même le tako pour te rencontrer. Mais une fois le premier versement effectué, ils prennent systématiquement la clé des champs. Même le réseau ne passe plus. Par conséquent, tu te retrouves en train de le supplier. Le monde à l’envers.

8- Les caissiers du bahat. Quand tu as ton argent et que tu dois te rendre dans une agence pour payer tes factures. Tu as l’impression que le caissier a un problème avec toi, ou alors qu’il ne veut pas te servir. Ils n’ont jamais de monnaie pour te rembourser, mais quand tu finis par trouver la monnaie et que tu leur donnes, ils crient « on n’accepte pas les pièces de 25 Fcfa ». I say hein, c’est ton argent ?

Mollah le travail n’est pas une chose facile, pire au Cameroun. Mais pour avoir sillonné flop d’entreprises et services publics, la plupart des travailleurs ne sont pas sérieux. Pourtant chaque année, on défile sous des coups de thèmes dont on accorde peu d’importance. Le plus important chez les letchois c’est que ce jour soit bien férié et chômé. On ment alors ?

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Auteur : Nyemson

Mbom! Le Social media c'est ma famille. Multidimensionnel, ton voisin le plus proche au letch c'est moi. You do your ways, i share it for all le moto, #aucalm.