Découvrez la deuxième adaptation musicale du poème « Mort-né » d’Alain Christian Mpako

Découvrez la deuxième adaptation musicale du poème « Mort-né » d’Alain Christian Mpako

Publié le 14 mai 2018, par Charly ngon

Extrait du livre « MoN’oZ », « Mort-né » est un poème qui raconte le chagrin d’une femme suite au décès de son enfant à peine avoir poussé son premier cri.

Derrière certaines apparences ordinaires se cachent le plus souvent des blessures difficiles à cicatriser. Des douleurs que le temps n’arrive pas à faire oublier. La mort d’un être cher par exemple. Pour des femmes qui ont perdu un nouveau-né, c’est  une expérience pas facile à vivre, et, difficile à surmonter. Si les mots ont le pouvoir de guérison comme on le dit si bien, les rimes d’Alain Christian Mpako sauront assurément apporter du baume au cœur à ces personnes victimes de la dure loi de la vie : la mort. Il y a quelques semaines, Alain Christian Mpako nous faisait découvrir « 2 ème vie » sa première adaptation musicale extraite de son recueil de poèmes « MoN’oZ ». Aujourd’hui, il poursuit son chemin avec « Mort-né ». Un poème tout aussi mélancolique que le premier, qui laisse parler le cœur meurtri d’une femme qui souffre de la perte de son enfant.

Alain Christian Mpako se présente dorénavant comme un artiste qui vit au rythme des émotions de la société, c’est-à-dire entre tristesse et bonheur, des sentiments qui sont pour lui une source d’inspiration. Ces émotions ont donc la particularité de prôner un message d’espoir à tout un chacun, peu importe la souffrance qu’il endure. Dans cette nouvelle vidéo, on découvre Alain Christian Mpako aux côtés de Tati Kona, plus acteur que poète  qui ne sait pas seulement donner de la puissance aux mots, mais qui arrive à en faire une représentation dans un jeu d’acteur tourné avec justesse. Même si les moments douloureux sont légions, il y a dans cette fiction un message que chacun saura interpréter. On enjoy un peu.




Auteur : Charly ngon

Molah ne te fie pas à mon name, je ne suis pas un mbenguiste, je suis du bled comme toi. Les hauts et les bas sont notre quotidien, donc ne fia pas c'est entre nous quoi ... comme au letch