Un collectif d’artistes réuni autour du Prince Ndedi Eyango pour le projet « Say yes for peace and security in Cameroon »

Un collectif d’artistes réuni autour du Prince Ndedi Eyango pour le projet « Say yes for peace and security in Cameroon »

Publié le 3 décembre 2017, par Charly ngon

Un collectif d’artistes camerounais a décidé de s’engager pour la sensibilisation de la paix et la sécurité au Cameroun. Ils le font en chanson avec un message fort évocateur. Dans le vidéogramme ils appellent les populations à maintenir l’unité et la paix.

Ils sont plusieurs artistes camerounais réunis au sein d’un collectif, pour donner de leur voix dans la sensibilisation des populations sur le bien fondé de la préservation de la paix et de l’unité au Cameroun. C’est sous le projet « Say yes for peace and security in Cameroon », initié par Prince Ndedi Eyango que les artistes, d’une seule voix « je dis oui pour la paix et la sécurité au Cameroun », chantent en français, en anglais ou encore en pidgin et en toutes les autres langues du Cameroun. Une manière pour le collectif des artistes d’apporter leur contribution contre le problème anglophone qui touche le pays.

A l’origine de cette chanson composée par Prince Ndedi Eyango, il était question d’apporter un soutien aux forces de maintien de l’ordre engagées dans la lutte contre la secte islamiste Boko Haram et les populations victimes de leurs exactions. Un concept qui a rassemblé une trentaine d’artistes, de leaders d’opinion et des sportifs qui ont répondu favorablement à cet appel. Avec le début de la crise anglophone, la chanson a été remixée, avec quelques modifications au niveau du texte. Pour ce nouveau projet on retrouve Prince Afo Akom, Charlotte Dipanda, Dynastie le tigre, Duc-Z et bien d’autres artistes. Tous ont chanté pour l’unité du 237,  aujourd’hui sur Au letch, on partage le vidéogramme.

Auteur : Charly ngon

Molah ne te fie pas à mon name, je ne suis pas un mbenguiste, je suis du bled comme toi. Les hauts et les bas sont notre quotidien, donc ne fia pas c'est entre nous quoi ... comme au letch