Après ses deux premiers EP, TATA sort enfin son premier album « Dey not di force love »

Après ses deux premiers EP, TATA sort enfin son premier album « Dey no di force love »

Publié le 28 mars 2020, par Charly ngon

Pour son premier album, TATA s’est payé le luxe de composer lui-même les dix chansons qui y figurent. 

Moulé à l’école de son mentor Jovi le montre, TATA a compris qu’il ne suffit pas de courir, ou faire les choses à la hâte. Sa logique a toujours été simple ; aller lentement mais surement. C’est d’ailleurs avec cet état d’esprit que le rappeur évolue. En homme prudent, il n’a jamais voulu brûler les étapes, encore moins faire comme tout le monde. Il a tout juste voulu attendre le bon moment pour faire les choses. Mais entre-temps, il nous a fait l’étalage de son talent à travers des singles, puis des collaborations, et par la suite avec ses deux EP. Enrichi par cette maturité, TATA fait un grand saut aujourd’hui dans sa carrière avec un premier album intitulé « Dey no di force love ». 

« Dey no di force love » le premier album de TATA est officiellement sur marché, il est disponible sur le site de New Bell Music, et sur tous les autres plateformes de téléchargement en ligne. En regardant la track list de l’album, on constate qu’il comporte dix titres, tous écrits par Tata. Des titres enrichis avec un mélange de rythmes traditionnels et urbains qui abordent une variété de thématiques. « Dey no di force love » par exemple qui est le titre phare de cet album, parle des difficultés que certaines personnes rencontrent lorsqu’ils vont demander la main d’une fille en mariage. Trop de tracasseries qui poussent certains à laisser tomber, et de partir voir ailleurs. On retrouve aussi dans l’album la chanson « Run Mop  » dont le vidéogramme est déjà disponible sur YouTube.

NB: Vous pouvez suivre cette chanson en cliquant ici.

Auteur : Charly ngon

Molah ne te fie pas à mon name, je ne suis pas un mbenguiste, je suis du bled comme toi. Les hauts et les bas sont notre quotidien, donc ne fia pas c'est entre nous quoi ... comme au letch